GILPIN • Le Paysage de la forêt

Livre Hebdo (n° 816, 9 avril 2010 )
« Texte inclassable entre la méditation et la promenade. Il nous plonge dans l’Angleterre préromantique et préindustrielle. (…) Voici donc l’ouvrage d’un contemplatif qui a fait de la forêt toute entière son jardin de philosophe. » Laurent LEMIRE
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Le Temps (1er mai 2010 )
« Vers 1770, William Gilpin (…) développe une “géographie esthétique”, six cents pages à la gloire des arbres, qu’il célèbre à l’égal des grands monuments. Les excellentes Éditions Premières Pierres en publient une sélection. » Isabelle RÜF
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ombresvertes.blogspot.com (mai 2010 )
« Décidément, cette fin du 18e siècle est une période absolument passionnante, et notre époque a toujours des leçons à tirer des idées développées durant la période romantique (…). »
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Sud Ouest Dimanche (2 mai 2010 )
« Une plume qui magnifie les frondaisons des chênes, l’élégance des frênes et le grand bazar des hêtres, qui célèbre la nature non domestiquée. L’esthétique que défendait alors le drôle de révérend dérangeait : elle réfutait la géométrie du jardin français comme la décontraction arrangée de son pendant anglais. » Catherine DEBRAY
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Marie France (juillet-août 2010 )
« On se promène dans ses écrits comme dans un tableau et l’on ne regardera plus jamais les arbres comme avant. » Bernard BABKINE

Communes forestières (n° 50, juillet 2010 )
« En son temps, ce livre bouscula l’art des parcs et jardins et proposait une critique “des critères dominants de l’art en général”. » Louisette GOUVERNE
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Europe (n°979-980, nov.-déc. 2010 )
« C’est dans la relation entre l’observation et l’argumentation raisonnée que réside pour une grande part le plaisir que l’on prend aujourd’hui à lire le révérend Gilpin, car s’il s’entend à définir avec une diligente gravité les principes de la beauté “correctement pittoresque”, il y a tant d’impondérable extravagance dans ce correctly picturesque qu‘on se prend à écouter le propos d‘une oreille à la fois bienveillante et mutine. » Jean-Baptiste PARA